• L'Odyssée d'Homère

    L'Odyssée d'Homère

     Fiche détaillée

     Auteur > Homère
    Editeur > Le Livre de poche
    Genre > épopée, classique
    Date de parution > écrit entre 850 et 750 avant notre ère , paru en 2004 pour la présente édition
    Titre original > Ὀδύσσεια / Odússeia
    Nombre de pages >   477 pages
    Traduction > du grec ancien par Victor Bérard

    auteur
    (sources : Vikipédia)

    L'Iliade d'Homère

    Homère (en grec ancien Ὅμηρος / Hómêros) est le plus ancien poète grec dont nous pouvons lire les œuvres. C'est un aède. Il aurait vécu au IXe siècle av. J.-C.. Ses longs poèmes, l’Iliade (plus de 15 000 vers), l’Odyssée (12 000 vers), étaient enseignés aux enfants et récités lors des fêtes solennelles comme les Grandes Panathénées d'Athènes. Pour les Grecs de l'Antiquité, Homère serait né au IXe siècle av. J.-C.. Chios, Smyrne, Colophon, cités grecques d'Ionie, se disputaient l'honneur d'être sa ville natale. On ne sait pas quand, ni où il est mort. Certains le font mourir dans l'île d'Ios.
    Les Grecs l'imaginaient aveugle, ce qui est une caractéristique fréquemment attribuée aux aèdes et aux devins, à cette époque. Les Grecs pensaient que la cécité permettait d'augmenter la mémoire et était la marque d'un talent pour la divination.
    Pendant longtemps, il a été appelé « le Poète ». C'est à l'époque des Pisistratides, à la fin du VIe siècle av. J.-C., que les poèmes de l'Iliade et de l'Odyssée lui sont attribués, faisant de lui une personne réelle.

    L'existence réelle d'Homère a été remise en cause au XVIIe siècle siècle .
    Pour les spécialistes de la littérature grecque ancienne, l'Iliade et l'Odyssée seraient une collection de poèmes que des récitants (les aèdes) se transmettaient oralement depuis longtemps, chacun d'entre eux rajoutant des variantes destinées à captiver leur auditoire. On peut déceler une origine orale des poèmes grâce à la présence de procédés poétiques répétitifs comme les qualificatifs de certains personnages « Héra la déesse aux bras blancs » ou « Achille aux pieds légers ». Ces procédés permettraient au récitant de baliser son intervention.
    Les différents ajouts expliquent aussi des incohérences lorsqu'on présente un fait comme nouveau alors qu'il a été déjà raconté auparavant. La langue dans laquelle l'Iliade et l'Odyssée sont écrites est aussi très ancienne par rapport à la période où Homère était censé vivre. C'est un mélange de deux dialectes grecs, l'ionien et l'éolien (indice que le texte viendrait de plusieurs sources), auxquels s'ajoutent des traces de la langue attique.
    La théorie la plus couramment admise aujourd'hui est que l’Iliade et l’Odyssée ont été composées par un ou deux poètes qui ont regroupé des récits anciens. L’Iliade aurait été composée entre 850 av. J.-C. et 750 av. J.-C. et l’Odyssée à la fin des années 700 av. J.-C..

    quatrieme de couverture

    Histoire d'amour et de mer d'une poésie incomparable, L'Odyssée est le symbole de la destinée humaine ballottée d'écueil en écueil. Après la guerre de Troie que célèbre Homère dans L'Iliade, Ulysse, l'un des chefs grecs, a offensé Poséidon. La colère du dieu est si grande qu'il déchaîne contre lui tempêtes, déesses ensorcelantes et magiciennes. Ulysse mettra vingt ans à rentrer à Ithaque.
    Le voyageur errant sur la Méditerranée, l'homme aux mille ruses, la fidèle Pénélope, le cyclope mangeur d'hommes, les îles bouillonnantes de Charybde et Scylla existaient déjà. Homère s'est inspiré de légendes orales de la Grèce ancienne qui remontent au XVè siècle avant Jésus-Christ. Il les immortalisa et inventa la belle Nausicaa aux bras blancs.
    Homère est le poète de la naissance du monde. Le monde apparaît à l'homme et Homère chante.

    première phrase

    "C'est l'Homme aux mille tours, Muse, qu'il me faut dire, Celui qui tant erra quand, de Troade, il eut pillé la ville sainte, Celui qui visita les cités de tant d'hommes et connut leur esprit, Celui qui, sur les mers, passa tant d'angoisses, en luttant pour survivre et ramener ses gens."

    avis personnel

    Vous avouerai-je que j'ai fini ce livre depuis trois bonnes semaines, et que je n'avais pas jusqu'ici réussi à écrire la 1ère phrase du 1er paragraphe de cette chronique ? Vous en déduisez quoi, alors ? La même chose que moi, hein !...

    Bon, que dire ? Contrairement à L'Iliade, je n'avais encore jamais lu L'Odyssée, même en version abrégée... Bien sûr, je connaissais déjà l'histoire à travers différents livres sur la mythologie grecque... et à travers le dessin animé de mon adolescence, Ulysse 31 !

    Désolée, mais je ne peux m'empêcher d'en fredonner les premières mesures :

    A travers les cieux
    L'Espace et le temps
    Un vaisseau s'en vient, Uly-y-y-sse
    Contrôlés des Dieux, des pièges géants
    C'est l'Odysséus, Uly-y-y-sse

       Ulysse revient
       Et c'est un bien long chemin
       Ulysse revient
       Il lutte pour son destin.

    Et moi, je lutte pour écrire ce billet...

    Vous le sentez comme moi que ça va être laborieux, hein ?
    Mais revenons à l'Ulysse original. Comme Purplevelvet, je l'ai trouvé profondément antipathique. Les jeunes aujourd'hui diraient de lui que c'est un mytho ! Grave même... Car Ulysse ment comme il respire. Et s'il ne faisait que mentir, on arriverait à s'en accommoder... (ou pas). Mais il vole également. Et il vole comme il ment. Enfin, peut-être pas aussi souvent, mais ce vice-là  est à l'origine de tous ses malheurs. Car il en a des malheurs, Ulysse. Non content d'avoir combattu pendant 10 ans sous les remparts de Troie, il met encore 10 ans à rentrer dans son royaume d'Ithaque, poursuivi par la colère du dieu Poséidon dont il a aveuglé le fils Polyphème (l'ironie de la situation, c'est qu'il aurait pu échapper à cette vengeance divine, si, dans un malheureux accès d'arrogance, il n'avait pas lui-même éventé sa propre ruse....). Ah oui, tiens, en parlant de ruse, celle-ci est une spécialité de notre héros. Même que c'est pour cette raison qu'Athéna l'aime tant et le protège ! Oui, la déesse vierge admire sa sagesse et sa piété, et sans elle, Poséidon aurait décrété la mort d'Ulysse depuis longtemps.
    Apparemment, les Grecs de l'Antiquité adoraient également le personnage d'Ulysse : ils étaient sûrement touchés par le refus d'Ulysse d'accéder à l'immortalité que lui offrait Cassiopé, taraudé par son désir de retrouver son île et sa femme.
    Ce qui rend ensuite sa décision, enfin débarqué dans sa patrie, de garder son incognito dans le but de tester son fils Télémaque puis son épouse Pénélope d'autant plus incompréhensible (et cruelle) : pensez, Pénélope et Télémaque souffrent depuis 4 ans des manigances de plus en plus menaçantes des prétendants !
    Alors que durant 20 ans, Pénélope a été une épouse absolument irréprochable (on ne sait même pas si elle s'est laissé aller à recourir au fameux objet en cuir qu'utilise Myrrhine dans le Lysistrata d'Aristophane ! ). Parce qu'Ulysse, de son côté, ne s'embarrasse guère de scrupules pour céder aux élans de la chair, hein ! Quand ce ne sont pas les servantes de ses hôtes, ce sont des immortelles "à la voix humaine"qui le consolent charnellement, rien que ça...

    Alors, au vu de ces reproches, vous vous dites sûrement que je n'ai pas aimé L'Odyssée ? Eh bien, pas du tout... J'ai beaucoup aimé cette épopée qui nous offre le récit mouvementé d'un voyage rempli d'aventures et de créatures mythologiques ainsi que des passages très émouvants (notamment celui où Ulysse rencontre aux Enfers ses chers disparus) !
    Je pense que la traduction de Victor Bérard m'a un peu rebutée. Ainsi que le personnage d'Ulysse (je lui préfère encore Achille dans L'Iliade qui a pourtant tué mon chouchou et profané son corps, c'est pour dire ! ) !!

    Bref, j'ai bien aimé la manière dont ce poème était construit, avec des allers-retours dans le temps et des histoires enchâssées, même si parfois, il est un peu ardu de s'y retrouver.
    Au début du poème, on apprend qu'Ulysse est prisonnier de Calypso qui souhaite l'épouser (il n'est toujours pas rentré chez lui, contrairement à d'autres rois grecs comme Nestor, Néoptolème le fils d'Achille et ses Myrmidons, Idomène et ses Crétois).
    Télémaque entreprend, sur les conseils d'Athéna, un voyage à travers une partie de la Grèce pour recueillir des nouvelles de son père. Il rencontre Nestor, puis Ménélas et sa femme Hélène qui lui confesse : " (...) je lui promis avec le plus fort des serments de ne pas révéler la présence d'Ulysse, avant qu'il eût rejoint les croiseurs et les tentes ; alors il m'expliqua le plan des Achéens ; puis, de son long poignard, il fit un grand massacre en ville et retourna porter aux Argiens sa charge de nouvelles. Alors, Troie retentit du cri des autres femmes. Mais, moi, c'était la joie que j'avais dans le coeur ! Déjà mes voeux changés me ramenaient ici, et combien je pleurais la folie qu'Aphrodite avait mise en mon coeur pour m'entraîner là-bas, loin du pays natal, et me faire quitter ma fille, mes devoirs d'épouse et un mari dont la mine ou l'esprit ne le cède à personne !" (page 69). On a envie de dire : tout ça pour ça ! Avouez qu'Hélène a un comportement de garce...
    Dans cette première partie, on apprend le sort funeste de nombreux guerriers sur le chemin du retour ou une fois chez eux  :
    ♦ Agamemnon et Cassandre ont été assassinés par la femme du 1er et l'amant de celle-ci
    ♦ Ajax est mort sur le retour pour avoir blasphémé contre Athéna
    ♦ Achille est mort dans la ville de Troie

    Dans la deuxième partie, Ulysse fait son apparition au chant V. Après huit années chez Calypso, celle-ci, sur ordre des dieux, laisse repartir son amant, qui échoue chez les Phéaciens.
    Lors d'un banquet donné en son honneur, l'aède entreprend le chant de plusieurs histoires :
    ♦ la querelle d'Ulysse et Achille au temps de la guerre de Troie
    ♦ les adultères d'Arès et d'Aphrodite
    ♦ le récit du cheval de Troie
    Puis Ulysse raconte ses péripéties depuis son départ de Troie.

    La troisième partie narre l'arrivée d'Ulysse dans sa patrie puis sa vengeance implacable contre les prétendants, avec les épisodes de son vieux chien qui meurt après l'avoir reconnu, celui de la nourrice qui le reconnaît à son tour grâce à une cicatrice, celui de l'épreuve de l'arc...

    Pour conclure, L'Odyssée est un récit palpitant au coeur de la Grèce antique, avec son lot d'aventures terrifiantes et d'épisodes merveilleux. Même si je n'ai pas apprécié le héros (qui donne son nom à cette épopée, car Odysseus est le nom grec d'Ulysse) et lui ai préféré son fils Télémaque, on est tout de même touché par son désir constant de retrouver les siens, et le courage dont il fait preuve pour surmonter les épreuves envoyées par les dieux. Et le passage avec l'invocation m'a énormément touchée (on se dit d'ailleurs qu'un homme qui aime autant sa mère n'est finalement pas si mauvais bougre que cela...)

    Et pour nous récompenser, moi d'être arrivée au bout de ma chronique, vous au bout de cette lecture, une petite chanson pour la route !! Allez, tous en choeur...

    U-u-lysse U-u-ly-y-sse
    Au milieu de la galaxi-i-e
    Comme le feu, il traverse le temps.

    Uly-y-y-sse Uly-y-y-sse
    Tu t'envoles au bout de la nuit,
    Tu es roi, au milieu des géants.

       Uly-y-y-sse
       Guidé par la paix la vérité
       Uly-y-y-sse
       Meme les dieux ne pourront t'arrêter.
       Uly-y-y-sse
       D'univers en galaxies
       Tu erres, tu erres à la recherche de la Terre.

    Appréciation :

    note : 4 sur 5

    extrait

    page 204 :
    " (...) Et moi si je suis morte, ce n'est pas autrement que j'ai subi le sort. Ce n'est pas la langueur, ce n'est pas le tourment de quelque maladie qui me fit rendre l'âme : c'est le regret de toi, c'est le souci de toi, c'est, ô mon noble Ulysse ! c'est ta tendresse même qui m'arracha la vie à la douceur de miel.
    Elle disait et moi, à force d'y penser, je n'avais qu'un désir : serrer entre mes bras l'ombre de feu ma mère... Trois fois, je m'élançai ; tout mon coeur la voulait. Trois fois, entre mes mains, ce ne fut plus qu'une ombre ou qu'un songe envolé. L'angoisse me poignait plus avant dans le coeur.
    Je lui dis, élevant la voix, ces mots ailés :
    - Mère, pourquoi me fuir, lorsque je veux te prendre ? que, du moins chez Hadès, nous tenant embrassés, nous goûtions, à nous deux, le frisson des sanglots !"

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  • Commentaires

    1
    Samedi 1er Février 2014 à 19:13
    Sylly

    Encore une fois un article digne de ce nom et qui me rappelle à l'ordre concernant le fait que je dois relire tout ça !!!

    Je te rejoins sur le caractère d'Ulysse qui est passablement détestable. Menteur, comploteur, etc ..; mais c'est aussi ce qui fait sa légende, sans tout ça on le connaîtrait pas :p

    Pour ce qui est de ce qu'il fait subir à ses proches à son retour à Ithaque, j'imagine que ça ne lui semblait pas anormal, quand on vit sans cesse dans le mensonge et la trahison, on doit imaginer que tout le monde agi de la sorte ...

    2
    Dimanche 2 Février 2014 à 17:39

    Merci beaucoup ma chère Sylly !

    vivivi, tu as raison, louons ces défauts qui ont bâti sa légende (mais ne compte pas sur moi pour faire d'Ulysse un héros inoubliable, nanmého !! )

    encore une fois, tu fais une remarque pertinente sur les motivations qui le poussent à tester son fils et sa femme... mais bon, comme ceux-ci ne lui en tiennent pas rigueur, on va sagement suivre leur exemple, et ainsi s'attirer les bonnes grâces d'Athéna...

    j'ai repensé après avoir écrit ma chronique à son statut patenté (et revendiqué) de voleur dans l'Odyssée, et je me suis dit après coup que dans les temps homériques, le piratage devait être répandue chez certains nobles (surtout que l'île d'Ithaque est décrite comme un caillou sans richesse...) huhuhu, sacré Ulysse quand même...

    3
    Lundi 3 Février 2014 à 11:44
    Un livre que j'ai beaucoup apprécié. C'est drôle car ayant relu Cocteau : la machine infernale je ne peux m'empêcher de faire un bête parallèle entre les deux héros. Héros qui sont assez détestables en réalité! Alors qu'auparavant j'appréciais ces deux personnages(Ulysse pour l'Odyssée et Oedipe pour Cocteau) je dois avouer que ça n'est plus le cas. Bien sûr tout n'est de leur faute (les dieux jouant toujours un grand rôle dans tout cela)
    4
    Mercredi 5 Février 2014 à 08:33

    @MissPendergast,
    tu attises ma curiosité avec La machine infernale... Il faudrait que je passe lire ton avis sur ce livre... Mais tu as raison : les humains sont souvent les jouets des dieux, qui décident de leur destinée, tragique ou pas...

    @Sylly,
    ah Troie de Gemmel... je l'ai dans ma ligne de mire depuis un moment déjà... j'avais déjà lu de lui Le lion de Macédoine (vi, je suis un peu amoureuse de Philippe de Macédoine, mais chut...) et comme je suis intéressée par tout ce qui touche à Troie... il faudra vraiment que je trouve les bouquins...

    5
    Mercredi 5 Février 2014 à 20:49
    ;) La marchine infernale était vraiment une belle lecture. j'ai lui il y a quelques jour la Guerre de Troie n'aura pas lieu de Giraudoux et ce fut encore une belle découverte notamment grâce au personnage d'Hector ;)
    6
    Vendredi 7 Février 2014 à 10:38

    @ Sylly,
    t'as vu, hein, il m'arrive d'être aussi garce qu'Hélène...
    oui, je n'arrive pas à les trouver en poche... et ils ne sont même pas à ma médiathèque, quelle déveine quand même !
    Le Lion de Macédoine est une lecture très agréable, qui mêle efficacement l'Histoire à la fantasy... ça peut paraître déstabilisant comme ça mais finalement ça s'intègre assez bien au récit...

    @MissPendergast,
    j'avais A-DO-RE La Guerre de Troie n'aura pas lieu ! et comme toi, je trouve le personnage d'Hector très attachant dans cette version... malgré le thème dramatique de la pièce de théâtre, l'humour de l'auteur est irrésistible... bref, un coup de coeur !

    7
    Samedi 8 Février 2014 à 11:54
    Sylly

    Cest exactement ce qu'il fait avec Troie : mêler histoire et fantasy ^^ il était très doué pour ça le coquin ;)

    France loisirs les avant sorti en poche l'année dernière, c'est comme ça que je me les suis offert d'ailleurs. À vérifier s'ils elles ont plus en stock à tout hasard. 

    8
    Lundi 10 Février 2014 à 07:40

    Merci beaucoup pour la piste, Sylly ! J'essaierai de voir dans ma boutique dès que possible... Car cette série est en effet difficile à trouver... il y a même des revendeurs qui proposent à 65 euros le tome !!

    Passe une bonne semaine !

    bisous

    9
    Dimanche 16 Février 2014 à 20:46
    Sylly

    Oui je me retrouve souvent confrontée à ce genre de problème, les gens sont fous quand il s'agit de revendre des livres peu ou plus édités .... Le dernier en date était un livre de Lea Silhol que les revendeurs mettaient à plus de 100€ 

    Si jamais tu n'arrive pas à le trouver, on pourra toujours s'arranger, je pourrais te les prêter ^^

     

    Bisous !

    10
    Mardi 18 Février 2014 à 22:56

    oh, c'est vraiment trop gentil comme proposition... bisous !

    11
    Myrtille
    Samedi 8 Mars 2014 à 21:16
    Myrtille
    Je t'admire de t'être replongée dans l'univers d'Homère, chose que je n'ai pas encore faite depuis la fin de mes études ! Contente que cette lecture t'ait plu ! Merci pour cette nouvelle participation ;)
    12
    Mardi 11 Mars 2014 à 16:59

    Merci pour ton message, Myrtille, mais cette plongée fut un plaisir plus qu'une corvée, donc je n'ai pas beaucoup de mérite... wink2
    Merci à toi pour ton challenge qui nous fait voyager à travers l'espace et le temps ! ^^

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